Cosmopolitisme vient du grec cosmos = monde et polites = citoyen. Le cosmopolitisme est un politique lié au culte du Cosmos. Le cosmopolitisme est la conscience d’appartenir à l’ensemble de l’humanité, il fond le particulier dans un Tout. Le cosmopolitisme consiste à se comporter comme un membre de la communauté mondiale, et non comme un citoyen d’un Etat. L’homme cosmopolite est citoyen du monde. D’autre part, l’Occident est dénoncé comme la civilisation du Père, terme qui vise le Dieu de la Bible. Les gaucho-mondialistes s’engouffrent dans ces créneaux pour réaliser leur œuvre de destruction de la langue française et de la nation.
Le cosmopolitisme a pour fonction d’éradiquer la patrie, comme le communisme à ses débuts l’a rêvé. La patrie comprend plusieurs critères identitaires: le sol, la langue et la culture, la souveraineté, la religion.
La lutte contre le sol, c’est la suppression des frontières, donc la liberté de migrer sans limites, et sans égards pour les habitants déjà présents sur le territoire. L’immigration illimitée n’a rien à voir avec le libre-échange, car les marchandises ne se déplacent pas elles-mêmes, à la différence des hommes. Les marchandises se déplacent à la suite d’un contrat où l’envoyeur et le receveur sont d’accord. Dans l’immigration, on ignore le point de vue de celui qui reçoit.
La lutte contre la langue et la culture est un aspect important du cosmopolitisme. Une langue globale envahit les banlieues: le globish qui est de l’anglais basique, une version simplifiée et appauvrie de l’anglais. Ce jargon est utilisé par les locuteurs des autres langues quand ils veulent communiquer en anglais.
La culture est laminée par l’égalitarisme dans l’éducation. La culture générale qui permet à chacun de se situer est marginalisée. L’individu, considéré comme une matière première du système technico-économique, ne doit pas avoir de personnalité culturelle enracinée dans l’histoire. Cela limiterait son interchangeabilité. Cela lui donnerait une capacité de résister au pouvoir, c’est inadmissible au sein du " GESTELL ", système d’arraisonnement raisonnable de Martin Heidegger, philosophe allemand (1889-1976).
Les plus grands résistants au totalitarisme comme à l’invasion étrangère furent des hommes de haute culture, souvent militaire et chrétienne, par exemple,
l’amiral Alexandre Koltchak, officier de marine russe face aux Bolcheviks (1874-1920),
le général Claus von Stauffenberg en Allemagne, conjuré allemand contre le nazisme (1907-1944), l’amiral Thierry d’Argenlieu, résistant français à l’occupation allemande (1889-1964).