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Validées par les neurosciences, ces 7 phrases modifient la chimie du cerveau...
Et vous ne les utilisez sûrement pas!
CES PHRASES MODIFIENT LA CHIMIE DU CERVEAU
Chaque jour, on se parle, on râle, on se motive, on doute, on ressasse. Mais ce petit monologue intérieur est loin d'être anodin. D'après des études publiées dans des revues scientifiques et relayées sur Instagram par @lescopainszen_fr, notre cerveau ne fait pas qu'écouter.
En effet, il enregistre, imprime, et surtout, il peut changer. Mieux encore, certaines phrases ont le pouvoir de modifier sa chimie, d'activer des zones précises liées à la régulation émotionnelle, à la motivation ou à l'apprentissage. Ce n'est plus de la pensée magique, mais de la neuro-plasticité.
Alors, que faut-il vraiment se dire pour booster son cerveau sans passer par la case psy?
CE QUE VOUS REPETEZ A VOTRE CERVEAU FAÇONNE VOTRE MONDE
Parmi les phrases les plus puissantes validées par les neurosciences, certaines permettent de réguler nos émotions.
"Mes pensées ne sont pas des faits", par exemple, favorise la métacognition et réduit l'hyperactivation de l'amygdale, selon une étude de De Raedt & Hooley (2016).
Autrement dit, elle aide à prendre du recul, à ne plus croire tout ce qui nous traverse l'esprit, et à réengager le cortex préfrontal (celui qui fait preuve de discernement). Pratique en pleine crise d'anxiété.
Autre pépite neuronale: "Ma présence compte". Cette phrase stimule la production d'ocytocine, l'hormone du lien social, tout en activant les circuits de récompense. Quand on se sent connecté, utile ou tout simplement à sa place, le cerveau régule mieux les réponses au stress social.
D'ailleurs, ce n'est pas un vœu pieux. L'étude de Martins et al. (2021) montre que le soutien social diminue la réactivité de l'amygdale face aux menaces. Une simple affirmation peut donc agir comme un rempart contre l'insécurité intérieure.
LE CERVEAU EST UN ETERNEL APPRENANT
La phrase "Les erreurs sont ma façon d’apprendre" est, elle aussi, scientifiquement fondée. Elle renforce les circuits neuronaux liés à l'apprentissage adaptatif, notamment dans le cortex cingulaire antérieur (Berkman, 2018). Traduction: au lieu de s'auto-flageller, on installe un climat d'apprentissage qui rend le cerveau plus souple, plus motivé, plus stratégique.
Dans la même veine, "Je peux transformer mon cerveau" active les fameuses voies dopaminergiques. Celles de la motivation, du plaisir et du passage à l'action.
Comme le rappelle Froemke (2015), le cerveau adulte garde une capacité intacte à se modifier, à condition de le stimuler avec intention.
Cette phrase fonctionne donc comme une promesse que l'on se fait à soi-même, et que le cerveau entend cinq sur cinq.