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TOUS les médecins et spécialistes ont reçu un courrier pour leur demander de ne pas trop "aider" les personnes de plus de 75 ans à se soigner et à faire, pour cela, des examens médicaux: radios, scanner, IRM..
de leur donner des doliprane et autres rivotril pour les calmer et de résister le plus possible à leurs demandes
J'en ai la preuve, l'hôpital a refusé de me faire un IRM
sous un prétexte fallacieux…
je me suis renseignée auprès de divers soignants qui n'ont pas aimé répondre à cette question!
Résistez, ne vous laissez pas faire et parlez-en à ceux de votre âge autour de vous!
Qu’est-ce que la conscience? Quand commence-t-elle? Comment la mesurer? L’IA en est-elle douée? À l’occasion de la Journée internationale de la conscience (5 avril), retour sur un phénomène intime, universel mais mystérieux, que les neurosciences commencent tout juste à décrypter.
LA CONSCIENCE: UNE DEFINITION ACCESSIBLE, MAIS UNE MESURE COMPLEXE
D’un point de vue subjectif, la conscience semble être une notion simple: c’est l’état dans lequel nous sommes lorsque nous sommes éveillés. Pourtant, sa nature scientifique reste difficile à cerner. Le principal problème réside dans sa mesurabilité: comment déterminer si un être, humain ou non, est conscient?
"Si vous me dites que vous êtes conscient, je vous crois. Mais, si j’ai devant moi un organisme incapable de me l’affirmer, ou une intelligence artificielle qui prétend l’être, je ne peux pas en avoir la certitude", explique Catherine Tallon-Baudry, directrice de recherche CNRS au Laboratoire de neurosciences cognitives computationnelles, à Paris.
La conscience est un état subjectif. Elle ne peut pas être observée directement, contrairement à des paramètres biologiques mesurables comme le taux de glucose dans le sang ou l’activité cardiaque.
Si le bilinguisme se développe en France, il continue néanmoins à susciter des craintes associées au développement langagier des enfants. Qu’en est-il?
Longtemps considéré en France comme une exception, le bilinguisme, ou plus largement l’utilisation récurrente de deux langues ou plus au quotidien, s’impose de plus en plus largement dans notre société. D’après le psycholinguiste François Grosjean, la moitié de la population mondiale est considérée comme bilingue.
Depuis plus de 20 ans, l’UNESCO œuvre pour une sensibilisation aux langues dans l’éducation dès le plus jeune âge. En termes de politiques éducatives, cela suppose de s’appuyer sur une ou plusieurs langues maternelles, et d’inclure dès que possible des langues régionales et/ou internationales.
En France, les langues sont abordées de plus en plus tôt, dès la maternelle, pour favoriser l’éveil aux langues et le développement des habiletés phonologiques (notamment la capacité à discriminer et reproduire des sons) qui sont un fort prédicteur des performances futures en lecture.
Si le bilinguisme se développe, il continue néanmoins à susciter des craintes associées au développement langagier des enfants, et les discours visant à décourager l’acquisition simultanée de deux langues ("qu’il apprenne bien le français avant d’apprendre une autre langue"; "les enfants qui apprennent deux langues sont moins bons que des natifs dans les deux langues") sont encore largement véhiculés.